How to Train Your Dragon est l’une des franchises les plus populaires de DreamWorks. L’histoire d’un jeune Viking qui se lie d’amitié avec un dragon en dépit de leur passé hostile a captivé le public grâce à une animation magnifique et à une écriture solide. En mars 2025, les fans de la série pourront voir le film original en prises de vues réelles.
De nombreux autres films fantastiques peuvent combler cette attente. Les thèmes de la franchise, tels que la lutte contre les préjugés, la découverte des talents cachés et la force de l’union, sont universels, ce qui permet de les dépeindre de manière très créative.
10 « Le dragon de Pete » (1977)
Fuyant une famille d’accueil abusive, Pete (Sean Marshall) et son ami dragon Elliot (Charlie Callas) arrivent à Passamaquoddy. Elliot est accidentellement vu par le gardien du phare alors que sa fille s’est prise d’affection pour Pete. Cependant, les mauvais gardiens de Pete et un vendeur local d’huile de serpent intéressé par Elliot viennent semer le trouble.
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Bien que loué à l’époque, Pete’s Dragon est aujourd’hui considéré comme l’un des moins bons films de Disney. Il y a beaucoup de choses à aimer dans ce film, depuis les numéros musicaux entraînants jusqu’aux premières innovations dans la combinaison de personnages dessinés à la main et de personnages en prise de vue réelle. La relation entre Pete et Elliot est également bien exécutée en tant que métaphore du passage à l’âge adulte.
9 « Dragonslayer » (1981)
Pour apaiser le dragon Vermithrax Pejorative, le royaume d’Urland sacrifie chaque année deux jeunes filles à la faim du dragon. Cherchant un moyen de s’en sortir, une jeune femme nommée Valerian (Caitlin Clarke), déguisée en homme, demande l’aide du sorcier Ulrich (Ralph Richardson). Lorsqu’il est tué, Valerian se tourne vers son apprenti, Galen (Peter MacNicol).
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Dragonslayer combine une histoire classique de passage à l’âge adulte avec le mordant des films fantastiques des années 80. De nombreux personnages humains prouvent leur valeur de manière inattendue, que ce soit Valériane qui cache son identité ou Galen qui refuse de se rendre. Le film est couronné par Vermithrax, qui reste l’un des plus grands dragons du cinéma grâce à des effets spéciaux révolutionnaires.
8 « Le vol des dragons » (1982)
Alors que le monde passe de la magie à la technologie, le magicien vert, Carolinus (Harry Morgan), demande à ses trois frères de créer un sanctuaire magique. Les sorciers bleu et or sont d’accord, mais le sorcier rouge Ommadon (James Earl Jones) ne l’est pas, car la technologie renforce son pouvoir. Comme les sorciers ne peuvent pas s’affronter, Carolinus convoque un concepteur de jeux du futur obsédé par les dragons pour jeter un pont entre la science et la magie et arrêter Ommadon.
Bien qu’il ne soit pas aussi beau que certains des autres films fantastiques de Rankin/Bass, Le vol des dragons se rattrape par son écriture. Les personnages sont agréables pour les archétypes fantastiques qu’ils incarnent, et le personnage principal se distingue par son enthousiasme aux yeux grands ouverts. Le film fait un superbe travail en essayant d’expliquer le fonctionnement d’un monde magique, notamment en ce qui concerne les dragons, tout en laissant quelques éléments à l’imagination.
7 « La dernière licorne » (1982)
Lorsqu’une licorne immortelle (Mia Farrow) apprend qu’elle est peut-être la dernière de son espèce, elle quitte sa forêt pour trouver des réponses. Elle apprend que le roi Haggard (Sir Christopher Lee) a emprisonné les licornes avec son taureau rouge démoniaque. Au cours de son voyage vers le château de Haggard, elle est rejointe par deux compagnons improbables : un magicien maladroit et la femme d’un bandit.
Le fait que la créature magique soit le personnage principal permet à La Dernière Licorne d’aborder des thèmes intéressants. Parmi ceux-ci, l’importance du regret et ce que signifie être immortel. Le contraste entre la façon dont les personnages mythiques et humains abordent ces sujets est fascinant et les aide à grandir d’une façon qu’ils n’auraient jamais imaginée.
6 « Cœur de dragon » (1996)
Lorsque le prince Einon (David Thewlis) est mortellement blessé lors d’une rébellion, sa mère supplie un dragon (Sean Connery) de le sauver. Le dragon accepte de partager la moitié de son cœur avec Einon, mais le garçon grandit en devenant cruel et vicieux. Son professeur, Sir Bowen (Dennis Quaid), rend le dragon responsable de son comportement et jure de se venger.
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Bien que les effets de Dragonheart ne soient pas impressionnants, le film excelle en ce qui concerne ses personnages. La relation entre Bowen et le dragon, Draco, est bien exécutée, passant d’un statut d’ennemi amer à celui d’ami de confiance. Le film aborde également les thèmes de la rédemption et de l’idée que tout est possible tant qu’il y a de l’espoir.
5 « La Légende des Gardiens : Les Hiboux de Ga’Hoole » (2010)
Un jeune hibou nommé Sorrel (Jim Sturgess) adore écouter des histoires sur des hiboux héroïques appelés les Gardiens de Ga’Hoole. Après être tombé du nid avec son frère Kludd (Ryan Kwanten), les deux sont capturés par des hiboux fidèles aux rivaux des Gardiens, les Purs. Pendant que Kludd se fait endoctriner, Sorrel réussit à s’échapper et part avertir les Gardiens de la nouvelle arme des Purs.
Bien que La Légende des Gardiens tombe dans les mêmes pièges que d’autres films fantastiques pour jeunes adultes, il y a beaucoup d’éléments qui l’aident à se démarquer. L’animation est la plus immédiate : chaque hibou a une apparence et des mouvements uniques, et les scènes de vol sont particulièrement époustouflantes. Les personnages secondaires sont agréables, en particulier le vieux hibou joué par Geoffrey Rush, qui apprend à Sorrel à devenir un vrai héros.
4 « Epic » (2013)
Après avoir rencontré la reine mourante des Leafman (Beyoncé Knowles), Mary Katherine (Amanda Seyfried) est réduite à leur taille et se voit confier une cosse de graines magiques. Gardée par le capitaine du Leafman et par les escargots et les limaces qui s’occupent de la cosse, M.K. garde la cosse en sécurité jusqu’à ce qu’elle puisse choisir une nouvelle reine. Pendant ce temps, Mandrake (Christoph Waltz), roi des Boggans, cherche à corrompre la cosse après avoir perdu son fils.
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Bien qu’Epic partage de nombreux points communs avec d’autres films à vocation écologique, il y a tout de même de quoi se réjouir. L’animation est lumineuse, vibrante et soutenue par une merveilleuse partition de Danny Elfman. Combinée à des scènes de vol inventives qui utilisent la petite taille des personnages, elle contribue à faire passer le film pour un monde véritablement magique.
3 « Les Trolls de la boîte » (2014)
Sous la ville de Cheesebridge vit une race de trolls pacifiques appelés Boxtrolls en raison de leur habitude de porter des boîtes. Malheureusement, les habitants croient que les trolls ont kidnappé et mangé un bébé. Ils engagent donc Archibald Snatcher (Sir Ben Kingsley) pour les rassembler. L’enfant a en fait été sauvé et élevé par les trolls, et comme de plus en plus de ses amis disparaissent, il brave le monde de la surface pour les secourir.
Les Trolls de la Boîte aborde des thèmes sociétaux intéressants avec la marque de fabrique de Laika, à savoir la stop-motion étonnante et décalée. Le sort des trolls de la boîte est un commentaire fort sur la peur de l’inconnu chez l’homme et sur le fait qu’il est souvent plus facile de s’énerver que d’essayer de comprendre. L’histoire de Snatcher, qui capture les trolls pour améliorer sa propre position dans la société, met en lumière les limites que les gens sont prêts à franchir pour atteindre l’idée qu’ils se font de la réussite.
2 « Dragon Rider » (2020)
Il y a de nombreuses années, les humains et les dragons vivaient en harmonie avant que les humains ne commencent à s’étendre. Aujourd’hui, les dragons survivants risquent de perdre à nouveau leurs maisons, ce qui suscite des discussions sur la guerre avec les humains. Par crainte, un dragon argenté nommé Firedrake (Thomas Brodie-Sangster) part à la recherche d’un paradis mythique où les dragons peuvent vivre dans le secret.
Le film est basé sur le roman éponyme de Cornelia Funke, paru en 1997, et reprend en grande partie l’esprit d’aventure du livre. Il explore la place des créatures mythiques dans le monde moderne et leur relation avec les humains, ce qui peut facilement s’appliquer à la responsabilité de l’homme envers le monde naturel. La star du spectacle est le méchant, Nettlebrand (Sir Patrick Stewart), une construction excessivement dramatique qui a une addiction pour la chasse aux dragons.
1 « La bête des mers » (2022)
Image via Netflix
Lorsque la famille royale menace de dissoudre les chasseurs de bêtes marines, le capitaine Crow (Jared Harris) et l’équipage de l’Inevitable se voient offrir une dernière chance de chasser l’insaisissable Red Bluster. La chasse se passe mal et le fils adoptif de Crow, Jacob (Karl Urban), et la passagère clandestine Maisie (Zaris-Angel Hator) sont avalés. La plume d’oie les emmène sur une île isolée peuplée de bêtes marines, où ils découvrent que ces créatures sont plus dangereuses qu’ils ne le pensaient.
RELIEF : La suite de « The Sea Beast » en développement chez Netflix
The Sea Beast s’inspire beaucoup de How to Train Your Dragon, mais remplace la culture scandinave par l’aventure en haute mer du XVIIe siècle. Cela se traduit par des monstres créatifs et des prises de vue sous-marines parmi les plus cinématiques jamais réalisées en animation. Bien que l’histoire soit parfois un peu prévisible, les personnages font plus que leur part grâce à leur sympathie et à la diversité de leurs personnalités.
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